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Tuer des résistants ne tue pas la Résistance !

Vendredi 27 septembre 2024, l’entité terroriste « Israël » a assassiné Hassan Nasrallah, le très respecté secrétaire général du Hezbollah, organe central de la Résistance libanaise.  Ce sont plusieurs tonnes de bombes qui ont été larguées réduisant en poussière une dizaine d’immeubles pour tuer le leader libanais. Plusieurs autres responsables politiques et militaires iraniens et libanais ont été assassinés en même temps. Hassan Nasrallah s’inscrit ainsi dans la longue lignée des martyrs de la Résistance, comme son prédécesseur Abbas Moussaoui également assassiné par l’entité sioniste en 1992. Hassan Nasrallah a été l’artisan en 2000 du retrait sioniste du Sud-Liban, après 20 ans d’occupation. Une autre victoire lors de la guerre en 2006 lui a valu une très large reconnaissance populaire dans le monde arabe. Quelques semaines après celui de Ismail Haniyeh, leader de la Résistance palestinienne, cet assassinat traduit parfaitement la stratégie du chaos et de la guerre totale que poursuit « Israël » avec l’appui des Etats-Unis. Ce crime ouvre sans nul doute une nouvelle phase dans la confrontation. Mais aveuglés par leur puissance militaire, l’Occident et son bras armé « Israël » oublient un fait très simple. Ce qui anime les leaders de la Résistance n’est pas le pouvoir, mais le dévouement à la cause qu’ils défendent. Ainsi chaque leader assassiné est remplacé par un autre, plus déterminé et plus radical. Et à chaque résistant assassiné, un autre se lève prêt à tout donner pour la libération de sa terre. Depuis près de 100 ans, les sionistes croient défaire la résistance en s’acharnant sur ses leaders et depuis 100 ans la Résistance se renforce !

« Nous ne sommes jamais vaincus. Quand nous gagnons, nous gagnons, et quand nous sommes martyrisés, nous gagnons » H. Nasrallah

  Palestine vivra ! Palestine vaincra ! Liban vivra ! Liban vaincra !

Comité Action Palestine, le 30 octobre 2024

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